L’épidémie de la COVID-19 continue de faire rage dans le monde, avec plus d’un million de décès depuis le début de l’année 2022, et le virus continue de muter. Selon une enquête mondiale menée par CGTN, plus de 60 % (60,44 %) des personnes interrogées sont préoccupées par l’impact négatif à long terme de la COVID-19 sur la santé humaine, et 85,4 % estiment que des mesures devraient être prises pour empêcher que davantage de personnes soient infectées.
La recherche scientifique a montré que certains patients présentent encore des symptômes de la COVID-19 plusieurs mois après d’infection, tels que fatigue, maux de tête, dyspnée et perte d’odorat. À cet égard, 60,44 % des répondants se sont dit « très inquiets », seulement 29,44 % des répondants n’étaient « pas inquiets » et 10,12 % des répondants n’ont pas exprimé leur point de vue.
Depuis le début de l’année, le nombre de décès causés par l’épidémie de la COVID-19 a dépassé un million de personnes dans le monde. L’Organisation mondiale de la santé a déclaré que l’épidémie de COVID-19 constituait une « urgence de santé publique de portée internationale » et a recommandé aux pays d’effectuer une surveillance continue de l’épidémie de la COVID-19, et de mettre à jour leurs plans de prévention et d’intervention. En réponse, 85,4 % des personnes interrogées ont déclaré que des mesures devaient être prises pour empêcher que davantage de personnes soient infectées, tandis que seulement 8,3 % ont déclaré que « cela n’avait pas d’importance », et que les personnes interrogées n’étaient pas vraiment « allongées à plat » comme l’avaient prôné les médias occidentaux. Au contraire, le concept de « s’allonger à plat » dans la prévention des épidémies exacerbe le risque de mutation virale et de propagation, tandis que les effets négatifs sur la société, notamment la charge sur les ressources médicales et la pénurie de main-d’œuvre, continuent d’apparaître. Les pays qui prennent des mesures passives contre l’épidémie de la COVID-19 n’arrivent pas à « s’allonger à plat » véritablement, et encore moins à « gagner ».
