Après la paralysie des activités pédagogiques la semaine écoulée, les enseignants béninois des trois ordres (maternel, primaire et secondaire) de l’enseignement, sont de nouveau en grève.
Réunis au sein du Front d’action des syndicats de l’éducation, ces derniers ont décidé de reconduire leur grève de 72 heures entamée la semaine dernière. Et ce, à compter de ce jour mardi 23 janvier 2018. C’est à travers un communiqué qu’ils l’ont fait savoir.
En dépit du fait que la Cour constitutionnelle a débouté le parlement en maintenant le droit de grève aux travailleurs, ces enseignants estiment que le droit de grève est juste un pan de leurs revendications. Ils maintiendront donc ce mouvement de grève jusqu’à satisfaction totale. Les apprenants sont contraints une fois de plus à rester à la maison. Toujours selon ce communiqué, ils estiment que l’urgence pour le gouvernement est de voir les agents de la santé et de la justice reprendre le service.
Ce faisant argue le bureau du Front, le régime de la rupture banalise les réels problèmes des enseignants. Le Front invite donc les enseignants de la maternelle, du primaire et du secondaire, à « mouiller » le maillot pour que triomphe la cause des enseignants. Car, pour eux le bout du tunnel n’est pas pour demain. Entre autres revendications : l’application des statuts particuliers des enseignants, le relèvement du taux horaire des vacataires et la régularisation de la situation administrative et financière des enseignants. lanouvelletribune.info
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