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Mise en œuvre du PNDES: la Banque mondiale satisfaite


Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a reçu en audience, le jeudi 25 janvier 2018, le vice-président du groupe de  la Banque mondiale chargée de l’éthique et de la déontologie, Ousmane Diagana.

La bonne tenue de l’économie burkinabè était au centre des échanges entre le président Roch Marc Christian Kaboré et le vice-président de la Banque mondiale en charge de l’éthique et de la déontologie, Ousmane Diagana.  L’Institution de Bretton Woods apprécie les bons qualitatifs enregistrés depuis le retour à l’ordre constitutionnel normal.    «J’ai tenu à venir saluer le président du Faso et le féliciter pour les progrès accomplis par le Burkina Faso depuis son arrivée à la tête de l’Etat», a déclaré M. Diagana à sa sortie d’audience. En charge du Burkina Faso au sein du groupe, c’est en fin connaisseur des nombreux défis macroéconomiques, sociaux et sur le plan de la capacité de créer des opportunités pour les jeunes,  à accéder au marché de l’emploi que le vice-président s’est confié. «Ces dernières années, il y a eu beaucoup de progrès. La croissance est revenue. Elle est forte mais on peut toujours faire davantage pour qu’elle soit encore plus inclusive», a-t-il espéré. Selon M. Diagana, le programme que les partenaires techniques et financiers conduisent sous le leadership du gouvernement Burkinabè, en ce qui concerne  la Banque mondiale, se déroulent très bien, suite à la conférence de Paris pour le financement du Plan national de développement économique et social (PNDES). Il a annoncé que la Banque mondiale a déjà mobilisé 400 millions de dollars US de financement, et est sur le point de préparer trois grands projets dans les secteurs de l’eau, de l’enseignement supérieur. Pour accompagner également Bagrépôle et d’autres projets, le groupe mobilisera une enveloppe de 700 millions de dollars supplémentaires. Au-delà des questions de développement, la gestion efficiente des deniers publics a été aussi abordée avec le chef de l’Etat.  «J’ai saisi l’opportunité de la rencontre pour échanger sur notre domaine de responsabilité au niveau de la Banque mondiale en tant que vice-président chargé des questions d’éthique. C’est extrêmement important aussi bien pour notre institution que pour l’Etat Burkinabè que la problématique de la bonne  gouvernance soit au centre de tous les efforts qui sont déployés. J’ai exprimé notre disponibilité à partager notre expérience au Burkina Faso dans l’accompagnement des efforts qui se font à cet égard », a conclu M. Diagana. Sidwaya

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