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Trump prévoit “une grande finale” pour le 20 janvier : espérons…


Le feuilleton américain, dont le premier épisode a débuté le 3 novembre, n’est apparemment pas terminé.

Contestant toujours le résultat des élections, à juste titre, Donald Trump n’a pas l’intention de passer le témoin au président illégitime Joe Biden le 20 janvier.

L’Histoire rendra justice à Trump, car des enquêteurs, des journalistes d’investigation, des écrivains intègres, en un mot des défenseurs de la démocratie, feront éclater la vérité tôt ou tard, détruisant le discours officiel des mondialistes et révélant la machination diabolique orchestrée par les Démocrates et leurs complices, véritable coup d’Etat mené contre le peuple américain.

Les juges et les élus corrompus ayant refusé d’examiner les plus de 60 plaintes du camp Trump, malgré des preuves aussi accablantes qu’irréfutables, Donald Trump a parfaitement raison de ne pas participer à la mascarade de la prestation de serment de Joe Biden.

En effet, c’est un usurpateur qui va promettre de respecter et de défendre la Constitution, alors qu’il l’a totalement violée, avec la complicité de bon nombre de Républicains et de pays occidentaux.

Trump n’a rien d’un faux derche. Accueillir Biden à la Maison Blanche serait reconnaitre sa défaite et se rendre complice de la fraude, alors que Trump a largement gagné.

C’est pourquoi, le 20 janvier au matin, il s’envolera sur Air Force One, vers son fief en Floride. Rappelons qu’il est Président des Etats-Unis jusqu’au 20 janvier à midi.

Certains sites annoncent que Trump prévoit “une grande finale” à l’heure de la prestation de serment de Joe Biden.

Evidemment, les rumeurs les plus folles circulent sur la toile et les sites complotistes y voient une remise en cause fracassante des élections par Donald Trump.

“Une grande finale”, c’est sujet à toutes les interprétations, de la simple annonce de Trump se déclarant candidat en 2024, au déclenchement par l’armée d’un vaste coup de filet, visant à arrêter les tricheurs et remettant Trump en selle le jour de la passation du pouvoir.

Même les plus grands réalisateurs d’Hollywood, adeptes du cinéma fantastique, n’auraient osé imaginer un tel scénario.

Les élections américaines, avec leurs rebondissements multiples, ça vaut tous les romans d’aventure de ces dernières décennies.

Du jamais vu dans une démocratie occidentale, même dans nos municipalités communistes, où les virtuoses de la triche ont longtemps fait la loi.

Ce serait une transition en douceur…mais au profit de l’administration Trump,comme l’annonçait déjà Mike Pompéo dès novembre.

Pour alimenter cette théorie d’un coup d’éclat parfaitement orchestré par le rusé milliardaire, chacune de ses petites phrases est décortiquée et analysée, pour y débusquer d’innombrables sous-entendus, prouvant qu’il ne lâchera pas le pouvoir.

«Nous allons reconquérir la Maison-Blanche», a tranché le candidat républicain à la présidentielle 2020. «Nous allons reprendre la Maison-Blanche en 2022, puis en 2024, et j’espère que je ne devrai pas être candidat, nous allons reconquérir la Maison-Blanche.»

«J’ai dit “je ne veux pas attendre 2024, je veux revenir dans trois semaines”», a déclaré Trump.

Mais à vrai dire, à part une prise de pouvoir par l’armée, suite à des preuves accablantes de trahison, démontrant la culpabilité des élites Démocrates dans le trucage des élections, je ne vois pas comment Trump pourrait reprendre la main après avoir été lâchement trahi par les siens.

Car pour un tel rebondissement ultime, il faudrait que Trump dispose de preuves flagrantes contre le camp Biden. Et dans ce cas, il est permis de se demander pourquoi il n’a pas agi plus tôt.

Mais de nombreux fans ne désespèrent pas et on spécule beaucoup sur la déclassification imminente de documents, qui pourraient renverser la donne.

Jacques Guillemain

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