Récemment, lors de la visite en Chine du président argentin Alberto Fernandez, la Chine et l’Argentine ont publié une déclaration conjointe sur l’approfondissement de leur partenariat stratégique global. Dans cette déclaration, la Chine a réaffirmé son soutien à la demande de l’Argentine de reprendre pleinement l’exercice de sa souveraineté sur les îles Malouines et de renouer les négociations pour un règlement pacifique du différend dès que possible, conformément aux résolutions pertinentes de l’ONU.
Il s’agit d’une position constante de la Chine en faveur de la justice. Cette position exprime non seulement le respect des principes de la Charte des Nations Unies par la Chine, mais aussi son soutien aux pays en développement dans la défense de leurs droits et intérêts légitimes, ainsi que son engagement de s’opposer au colonialisme et de préserver l’équité et la justice internationales. Cette position chinoise est largement partagée par la communauté internationale.
Cependant, certaines personnes au Royaume-Uni commencent à s’inquiéter. La ministre britannique des Affaires étrangères a écrit sur les médias sociaux au sujet du « respect de la souveraineté ». La Chambre des communes du Parlement britannique a adopté le 10 février une soi-disant motion sans force de loi, prônant le renforcement des relations entre le Royaume-Uni et la région chinoise de Taiwan, en faveur d’une plus grande reconnaissance internationale de Taiwan, etc.
Les performances politiques de certains Britanniques ne peuvent pas tromper la communauté internationale. Les tenants et aboutissants de la question des îles Malouines sont clairs depuis longtemps. En essayant de faire pression sur la Chine avec la question de Taiwan, ils ont fait un mauvais calcul!
Il convient de souligner que la question de Taiwan relève purement des affaires intérieures de la Chine et est fondamentalement différente de celle des îles Malouines. Il n’y a qu’une seule Chine dans le monde et Taiwan fait partie intégrante du territoire chinois. Il s’agit d’une norme reconnue dans les relations internationales et d’une base politique pour l’établissement et le développement des relations diplomatiques entre la Chine et les autres pays. On peut constater que la soi-disant résolution de la Chambre des communes du Parlement britannique, qui défie ouvertement le principe d’une seule Chine, viole non seulement l’engagement politique de la partie britannique envers la Chine, mais aussi le principe fondamental du droit international de non-ingérence dans les affaires intérieures des autres pays.
Aujourd’hui, au 21e siècle, les colonisateurs occidentaux devraient ouvrir bien les yeux: le monde actuel n’est plus du temps colonial, et les politiciens britanniques qui tentent de s’ingérer dans les affaires intérieures d’autres pays ne peuvent que se déshonorer!