Aussi, il a souligné que le FONAENF a des défis et aussi des perspectives que les responsables du fonds tiennent à partager avec le premier responsable en charge de l’éducation formelle et non formelle.
« Nous sommes un fonds mais depuis un certain temps nous fonctionnons avec le minimum face à une demande très forte. Pour preuve, cette année, il y a plus de 15 000 besoins en centres mais nous n’avons pu accorder que 3000 centres. Sur les questions pédagogiques, nous avons estimé que les programmes sont assez lourds et ont besoin d’être revus ».
« Au sortir de cette rencontre, nous pensons que monsieur le ministre est mieux situé sur ce que nous faisons et ce qui nous manque pour aller de l’avant », a laissé entendre le Président du Conseil d’Administration, monsieur Abraham KY. Source: DCPM/MENA.