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Covid-19: « Il n’y pas d’inquiétude d’une année blanche » Stanislas Ouaro


Pas du tout. Pour le moment nous sommes à trois semaines d’inactivité si on tient compte des congés. Si on arrive à reprendre à partir du 14 avril, il y aura un petit réaménagement du calendrier. Mais au cas où il faudrait prolonger encore la fermeture des classes, nous avons entrepris des travaux de réflexion pour utiliser d’autres canaux pour la continuité de l’éducation. Notre objectif, c’est de commencer à très court terme avec les classes d’examen et à moyen terme avec les autres classes dès que possible. Au niveau du primaire nous n’avons pas de problèmes car du CE1 au CM2, nous avons tous les contenus numérisés. Au niveau du post-primaire nous devons le faire. Nous voulons aller dans le sens de ce qui se fait à Burkina Info. Nous comptons travailler avec eux pour améliorer les choses. Si la situation perdure, nous comptons aussi nous appuyer sur la presse écrite qui va consacrer des pages pour des chapitres, avec des exercices d’application et autres qui se feront chaque jour. Nous sommes en train de travailler et nous sommes avancés. Nous travaillons aussi sur la budgétisation et nous avons des partenaires qui sont prêts à nous accompagner. Il n’y pas d’inquiétude d’une année blanche. Au-delà de la pandémie, nous souhaitons poursuivre notre initiative. Au niveau de l’enseignement supérieur, il y a également une initiative en réflexion. Et le ministre de tutelle pourra mieux vous l’expliquer.
(Extrait d’une interview avec L’Observateur Paalga,3 avril 2020

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