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Burkina: la crise sociale perçue par Yeli Kam selon le triangle dramatique de Karpmann


Ceci est une tribune de Yéli Monique Kam, présidente du Mouvement pour le Renaissance du Burkina Faso (MRB).

Le MRB, le parti de l’éducation, a identifié la crise sociale et sécuritaire dans le triangle dramatique de Stephen KARPMANN.
Selon cette étude, la crise sociale a fracturé notre société en trois (03) parties ou camps :
1. Le PERSÉCUTEUR : il n’est pas forcément une personne physique. Il incarne l’Etat, les institutions nationales et internationales. Il donne des ordres et les exécute. Il provoque des rancunes.
2. Le SAUVEUR : il incarne les leaders et les élites. Il apporte une aide inefficace. Il crée l’assistanat.
3. La VICTIME qui représente les minorités d’individus (homme, femme) ou de groupes sociaux. La victime s’apitoie. Elle attire à la fois le Persécuteur et le Sauveur. Elle se conforte dans sa situation.
Selon Stephen KARPMANN, toutes ces parties sont dans le DENI.
Pour sortir du Triangle dramatique, Stephen KARPMANN préconise entre autres solutions :
1. une prise de conscience de chaque composante de la nécessité de SORTIR DU DÉNI.
2. une délimitation de la responsabilité à assumer par chaque composante.
APPEL AUX UNIVERSITAIRES ET ELITES
Ils sont appelés à jouer pleinement leurs rôles d’éclairer la conscience collective afin d’amener l’ensemble de la population à sortir du déni.
Osons le changement de mentalité !
La PAIX, c’est possible !
Yéli Monique KAM
La Yennega de l’éducation
La Présidente du MRB

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