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Taiwan : la rhétorique trompeuse de Lai Ching-te est vouée à l’échec


Taiwan : la rhétorique trompeuse de Lai Ching-te est vouée à l’échec

Dans un récent discours, le dirigeant de Taiwan Lai Ching-te a délibérément falsifié l’histoire, niant le fait que Taiwan fait partie de la Chine depuis l’Antiquité. Éludant une série de documents juridiques internationaux importants concernant l’appartenance de Taiwan après la Seconde Guerre mondiale, il a ouvertement contesté l’autorité de la résolution 2758 de l’Assemblée générale des Nations unies (AGNU) et du droit international. Cette tentative contraire à l’ordre international, à l’équité et à la justice, est vouée à l’échec.

Dans son premier discours dans le cadre de la campagne dite « Dix conférences sur l’unité », Lai a colporté la rhétorique que les deux parties du détroit de Taiwan n’étaient « pas subordonnées l’une à l’autre », dans la tentative d’imposer une conception erronée de l’histoire aux habitants de l’île et de fourvoyer l’opinion publique internationale. Certains médias et universitaires taïwanais ont touché droit au vif : le discours de Lai, plein de lacunes historiques et illogique, vise à prêcher l’idée de l’« indépendance de Taiwan », et la soi-disant « unité » n’est rien d’autre qu’une tentative d’unir les partisans de l’« indépendance de Taiwan », ce qui accentue en fait le déchirement de la société de l’île.

Depuis leur arrivée au pouvoir, les autorités du Parti démocrate progressiste (PDP) ont délibérément promu la « dé-sinisation » aux niveaux historique et culturel. Dans son récent discours, Lai Ching-te a prêché la « singularité » de Taiwan en termes de culture, de langue et même d’écologie, en éludant des faits historiques solides. Cela faisant, il a voulu concocter une rhétorique erronée afin de créer un bien-fondé pour rechercher l’« indépendance de Taiwan. »

Afin de faire étalage de statut de Taiwan en tant que soi-disant « pays souverain », Lai a eu recours à des sophismes en se référant à des éléments tels que le peuple, la terre, la gouvernance et la souveraineté. Mais les autorités du PDP possèdent-elles réellement la « souveraineté » telle qu’elle est reconnue par la communauté internationale et le droit international ?

La Déclaration du Caire de 1943 et la Déclaration de Potsdam de 1945 stipulent clairement que le Japon doit restituer à la Chine les territoires chinois volés, y compris Taiwan.  Ces documents, d’une valeur juridique internationale, constituent une partie importante de l’ordre international de l’après-guerre. Taiwan fait partie de la Chine, c’est un consensus général de la communauté internationale. Après sa fondation en 1949, le gouvernement de la République populaire de Chine est devenu l’unique gouvernement légitime représentant l’ensemble de la Chine. Cela va sans dire qu’il jouit et exerce pleinement sa souveraineté sur Taiwan.

Dans son discours, Lai a affirmé que « la résolution 2758 de l’AGNU ne traite que de la question de la représentation aux Nations unies et ne concerne pas Taiwan. »  Une tromperie qui sème la confusion. La résolution 2758, adoptée par l’AGNU en 1971, est la continuation des principes entérinés dans une série de documents de droit international, dont la Déclaration du Caire et la Déclaration de Potsdam. Cette résolution a résolu une fois pour toutes, sur les plans politique, juridique et procédural, la question de la représentation de toute la Chine, y compris Taiwan, au sein des Nations unies. Lai Ching-te se creuse les méninges pour déformer la résolution 2758, ce qui va non seulement à l’encontre du droit international, mais tente également de remettre en question l’ordre international de l’après-guerre. Ces tentatives ne manqueront pas de rencontrer l’opposition universelle de la communauté internationale.

Lai Ching-te a également affirmé que « la communauté internationale ne reconnaît pas la revendication de la Chine sur la souveraineté de Taiwan. » Une affirmation encore plus trompeuse. À l’heure actuelle, sur la base du principe d’une seule Chine, 183 pays dans le monde ont établi des relations diplomatiques avec la Chine. Au fil des ans, Taiwan a perdu 10 soi-disant « alliés diplomatiques » l’un après l’autre.  Cela montre pleinement que le principe d’une seule Chine est le consensus général de la communauté internationale et la norme fondamentale régissant les relations internationales. Le respect de ce principe est l’aspiration de tous et représente une tendance générale. Les « alliés diplomatiques » que les autorités du PDP soudoient avec de l’argent et certains pays occidentaux qui « soutiennent Taiwan » à des fins politiques ne sont qu’une infime minorité de la communauté internationale.

Taiwan n’a jamais été un pays et ne le sera jamais, que ce soit en termes d’histoire, de jurisprudence ou de réalité. Les provocations pour rechercher l’« indépendance » sont vouées à l’échec. Quelles que soient les tentatives des autorités de Lai Ching-te, elles ne changeront pas le fait juridique que Taiwan fait partie de la Chine, n’ébranleront pas l’adhésion de la communauté internationale au principe d’une seule Chine, et ne bloqueront pas la tendance historique à la réunification de la Chine.

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