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Lai Ching-te, un saboteur de la paix au détroit de Taiwan


Le chef de la région de Taiwan, Lai Ching-te, va plus loin dans les provocations sécessionnistes, dépeignant la partie continentale de la Chine comme des « forces hostiles étrangères ». Ces provocations dangereuses montrent encore une fois au monde que Lai est un saboteur de la paix dans la région de Taiwan.

Dans un récent discours, Lai Ching-te, ce sécessionniste qui se prétend « travailleur pragmatique pour l’indépendance de Taiwan », a une fois de plus prêché ses sophismes sécessionnistes, affirmant que « les deux rives ne sont pas subordonnées l’une à l’autre » et que « Taiwan est un pays démocratique, souverain et indépendant ».  Décrivant avec exagération les « cinq menaces » posées par la partie continentale de la Chine, il a mis en avant les soi-disant « 17 stratégies » pour y répondre. Lai est allé jusqu’à décrire la partie continentale de la Chine comme « forces hostiles extérieures ».

Ces remarques provocatrices nient catégoriquement le « consensus de 1992 » qui incarne le principe d’une seule Chine et tentent de bloquer les échanges entre les deux rives du détroit. Il s’agit d’un manifeste de « terreur verte » dans toute la force du terme. Ces provocations risquent de compromettre gravement la paix et la stabilité dans le détroit de Taiwan.

Les soi-disant « 17 stratégies » de Lai comprennent notamment la reprise du système de procès militaire, l’investigation des documents des habitants de l’île exerçant des professions spécifiques, la gestion des risques liés aux échanges de personnel entre les deux rives ou l’ajustement structurel des échanges économiques et commerciaux entre les deux rives. Ces tentatives alarmantes ont choqué l’opinion publique de l’île. Selon des médias locaux, Lai Ching-te crée de manière flagrante une « terreur verte » afin d’étouffer les échanges entre les deux rives et de museler l’opinion publique, cela revient à ramener Taïwan à l’état de loi martiale du siècle dernier. Ces soi-disant « 17 stratégies », une fois mises en œuvre, conduiront Taïwan sur une « route de la mort ».

Depuis son arrivée au pouvoir en mai dernier, l’incompétence de Lai Ching-te en matière de gouvernance fait que la grogne enfle dans l’île. Dans la tentative de détourner les contradictions, il ne cesse d’exagérer la menace imminente de la partie continentale, celle de recourir à la force pour réaliser la réunification. En même temps, imposant une « terreur verte », il réprime les contestataires et s’engage dans la « grande purge » au sein de l’île, afin de s’emparer encore davantage du pouvoir.

La nouvelle administration américaine s’est montrée prudente dans sa position à l’égard de Taiwan depuis son entrée en fonction, refusant de s’engager publiquement à protéger la sécurité de Taïwan. Sur les nerfs, Lai Ching-te craint que Taïwan ne soit réduite à un « pion abandonné ». Dans le but de justifier leurs valeurs en tant que « pion », les autorités de l’île ont augmenté considérablement le budget pour les achats des armes américaines afin de plaire aux États-Unis, tout en prenant des mesures désespérées pour accroître les tensions dans le détroit de Taiwan.

Quelles que soient les allégations de Lai Ching-te, elles ne peuvent changer ce fait réel, à savoir que Taiwan fait partie de la Chine. Taiwan n’a jamais été et ne sera jamais un pays.

La Déclaration du Caire de 1943 et la Proclamation de Potsdam de 1945 stipulent clairement la restitution de Taiwan à la Chine, un territoire chinois volé par le Japon. Cela constitue une partie importante de l’ordre international de l’après-Seconde Guerre mondiale et établit le fondement juridique selon lequel Taiwan est un territoire inaliénable de la Chine.

Il y a 53 ans, la 26e session de l’Assemblée générale des Nations unies adoptait à une écrasante majorité la résolution 2758, par laquelle elle décidait de rétablir la République populaire de Chine dans tous ses droits.  Elle reconnaissait ainsi les représentants du gouvernement de la République populaire de Chine comme les seuls représentants légitimes de la Chine aux Nations unies, et expulsait immédiatement les représentants de la région de Taiwan des Nations unies et de tous ses organes. Depuis plus d’un demi-siècle, les Nations unies et d’autres organisations internationales et régionales adhèrent à la résolution 2758 de l’Assemblée générale.

Le principe d’une seule Chine représente un consensus général de la communauté internationale. Sur la base de ce principe, la Chine a établi des relations diplomatiques avec 183 pays. Par contraste, ces dernières années, les autorités du PDP ont perdu dix soi-disant « alliés diplomatiques ». Preuve que l’adhésion au principe d’une seule Chine représente la tendance générale et l’aspiration de tous.

La partie continentale de la Chine s’est dite depuis longtemps prête à manifester la plus grande sincérité et à faire tout son possible en vue de réaliser la réunification pacifique. Cependant, si les forces séparatistes osent franchir la ligne rouge, des mesures résolues seront prises en réponse. Les provocations sécessionnistes de Lai et de ses semblables sont vouées à l’échec. La Chine réalisera sa réunification totale. C’est une tendance historique que personne ni aucune force ne pourra arrêter.

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