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Homosexualité – viol de jeunes garçons par un expatrié : le témoignage d’une autre victime du « blanc »


Deux jeunes burkinabè violés par un expatrié ont rencontré la presse ce lundi 23 avril 2018 pour s’exprimer autour de cette question d’homosexualité doublée de pédophilie. L’une des victimes prénommée Cheick, mineur à l’époque des faits, a livré son témoignage au cours de cette rencontre. « Moi j’ai eu à faire trois semaines là-bas (dans l’Imprimerie du présumé violeur) et par jour on me payait 2500. J’ai fait trois semaines et ils m’ont payé 37.500 franc cfa. A la fin de ma semaine, un vendredi soir, le blanc m’a appelé dans son bureau pour me dire que je travaillais bien et il souhaitait me laisser continuer parce que je connais bien le travail. Je lui dis ok. Sur le champ il m’a dit de revenir dimanche qu’il veut me parler. Le dimanche matin à 08 heures je suis reparti dans son bureau. Il m’a donné la place, je me suis assis. Il a commencé à causer avec moi et entre temps il a quitté sa chaise pour venir vers moi. Il a aussitôt commencé à me caresser. Moi je me suis levé et j’ai dit que j’allais rentrer parce qu’on m’attendait à la maison. Il dit de patienter qu’il avait quelque chose à me dire. Il dit de laisser mon numéro pour qu’en cas de besoin il m’appelle. Je l’ai alors laissé mon numéro avant de rentrer. Deux semaines plus tard, il m’a appelé pour que je vienne le voir chez lui. Arrivé, il m’a fait rentrer dans sa cour, il y avait deux chiens bergers Allemands. J’étais assis au salon, il m’a apporté de l’eau et on a commencé à causer. Il m’a demandé après de rentrer prendre une douche, je lui ai dit non. Il a dit non à son tour et à demander à ce que j’aille prendre ma douche. Je me suis donc levé pour aller dans la douche et il m’a rejoint. Il a fermé la porte de la douche derrière lui et il a dit qu’il a envie de moi. Je ne comprenais pas ce qu’il voulait dire. Je lui ai dit que je voulais rentrer il a répondu que ce n’était pas possible parce qu’il a fermé la porte à clé et il serait préférable que je fasse ce que lui il voulait. Cinq minutes plus tard, il m’a violé. Je suis ressorti et en partant il m’a donné 50.000 f cfa. Quand je suis rentré, il m’a appelé pour me dire que si une fois on m’appelait à la Gendarmerie de dire que lui il ne m’a rien fait et qu’on ne se connaissait pas. Deux mois après, on m’a appelé à la Gendarmerie de Kossyam. Quand je suis arrivé le Gendarme m’a dit qu’il faudra que je dise que je ne connais pas le blanc et que je ne dépose pas une plainte contre le blanc parce que ce que le blanc a fait n’est pas interdit par la loi ; et mieux que le blanc pouvait m’envoyer un jour en Europe. » 226infos.net

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